Auteur/autrice : Julia P.
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Troubles pris en charges par les TCC
Troubles anxieux
- Trouble anxieux généralisé (inquiétudes permanentes, ruminations)
- Trouble panique (attaques de panique)
- Agoraphobie (peur des lieux publics ou de la foule)
- Phobies spécifiques (animaux, avion, sang, etc.)
- Phobie sociale (peur du jugement ou de parler en public)
- Trouble obsessionnel-compulsif (TOC)
- Trouble de stress post-traumatique (TSPT)
- Trouble d’anxiété de séparation
Troubles de l’humeur
- Dépression (épisodes dépressifs, rechutes dépressives)
- Trouble dysthymique (humeur triste persistante)
- Trouble bipolaire (en accompagnement, sur la gestion des phases dépressives et maniaques)
Troubles de la pensée et de la perception
- Ruminations mentales, pensées intrusives
- Perfectionnisme pathologique
- Faible estime de soi
- Sentiment d’imposture
- Difficultés de prise de décision
- Procrastination chronique
Troubles du comportement
- Troubles alimentaires : anorexie, boulimie, hyperphagie, grignotages compulsifs
- Addictions (alcool, tabac, drogues, jeux, écrans, travail, sexe, etc.)
- Troubles du comportement alimentaire liés au stress ou aux émotions
- Troubles du sommeil (insomnie, ruminations nocturnes)
- Troubles de la sexualité (anxiété de performance, blocages)
Troubles liés au stress ou à l’adaptation
- Burn-out (épuisement professionnel)
- Trouble de l’adaptation (suite à un choc, un deuil, une séparation)
- Gestion du stress, de la colère, de l’impulsivité
Troubles neurodéveloppementaux et de la régulation attentionnelle
- Trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H)
- Troubles du spectre de l’autisme (TSA) — en accompagnement comportemental et social
- Difficultés d’organisation, de planification ou de concentration
Troubles de la personnalité et schémas comportementaux
- Trouble de la personnalité borderline (instabilité émotionnelle, peur de l’abandon)
- Dépendance affective
- Troubles de la personnalité évitante ou dépendante
- Gestion des schémas répétitifs dans les relations (auto-sabotage, abandon, rejet, etc.)
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Quand l’EMDR peut-elle être utile ?
L’EMDR s’adresse à toutes les personnes qui sentent qu’un événement, une relation ou une période de leur vie continue à peser sur leur présent.
Elle aide à remettre du mouvement là où quelque chose est resté figé, à apaiser le corps et les émotions, à retrouver un sentiment de sécurité intérieure.
Les petits blocages du quotidien
L’EMDR peut être d’une grande aide pour des situations légères, mais qui prennent parfois plus de place qu’on ne le voudrait :
- Une peur de conduire ou de parler en public
- Un malaise avant un examen ou un entretien
- Une remarque ou un conflit qui continue de tourner en boucle
- Une chute, un choc ou une situation qui a laissé une trace émotionnelle sans gravité apparente
- Une gêne persistante, un souvenir qui revient sans raison
Souvent, une ou deux séances suffisent à apaiser ces mémoires et à retrouver de la fluidité dans le quotidien.
Pour apaiser le corps et l’esprit
L’EMDR peut aussi accompagner des troubles qui, sans être forcément liés à un grand traumatisme, traduisent une tension plus ancienne :
- Les troubles du sommeil, les cauchemars
- Les douleurs chroniques ou les somatisations
- Les crises d’angoisse, les troubles anxieux
- Les états dépressifs ou les pertes d’élan de vie
Ce travail permet au corps et à l’esprit de retrouver un équilibre plus naturel et plus apaisé.
Quand le passé se rejoue dans le présent
Parfois, ce ne sont pas les souvenirs qui posent problème, mais des réactions que l’on ne comprend pas :
- Des peurs ou des colères disproportionnées
- Des difficultés à faire confiance ou à s’engager
- Un sentiment d’impuissance, de honte ou de culpabilité
- Des schémas répétitifs dans les relations ou au travail
Ces réactions trouvent souvent leur origine dans des expériences passées non digérées.
L’EMDR aide à les transformer en ressources nouvelles et plus ajustées.
Les blessures invisibles
Certaines blessures sont plus discrètes, mais tout aussi marquantes :
- Le manque de présence ou de chaleur affective dans l’enfance
- Les critiques, l’humiliation, le rejet
- Les conflits familiaux, les séparations, les silences pesants
- Les relations d’emprise ou de dépendance affective
- Le sentiment de ne jamais être à la hauteur
L’EMDR permet de revisiter ces souvenirs sans les revivre, pour en libérer la charge émotionnelle et retrouver une plus grande paix intérieure.
Les chocs de la vie
Certains événements viennent bouleverser l’existence et laissent une empreinte durable, même longtemps après :
- Un accident, une agression, un deuil brutal
- Une opération chirurgicale difficile, une maladie grave
- Un accouchement compliqué ou mal vécu
- Un épisode de peur intense ou de danger ressenti
Ces expériences peuvent se manifester plus tard par des cauchemars, des angoisses, des évitements ou l’impression de rester « bloqué » dans le passé.
Pour se préparer ou se renforcer
Enfin, l’EMDR peut être utilisée dans une démarche de confiance et de croissance personnelle, par exemple :
- Avant un accouchement, une opération, une prise de parole, un examen
- Pour renforcer la confiance, l’estime de soi ou la capacité à dire non
- Pour se sentir plus stable et plus libre face aux changements de vie
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Traiter les phobies avec l’EMDR
L’EMDR (Eye Movement Desensitization and Reprocessing) est une approche thérapeutique reconnue et efficace pour traiter les phobies. Elle repose sur la stimulation bilatérale (mouvements oculaires, sons alternés ou tapotements) afin d’aider le cerveau à retraiter des souvenirs perturbants restés “bloqués” et à réduire l’intensité émotionnelle associée.
Voici comment cela s’applique aux phobies :
1. Compréhension et préparation
- Le thérapeute commence par explorer la phobie, son origine possible et ses déclencheurs actuels.
- Il s’assure que la personne dispose de ressources internes pour gérer les émotions qui vont surgir (ancrage, respiration, lieu sûr, techniques de stabilisation).
2. Identifier l’origine de la phobie
- Souvent, derrière une phobie (araignées, avion, foule, etc.) se cache un souvenir ou une expérience marquante, parfois ancienne, qui a laissé une empreinte forte dans le système nerveux.
- Ce n’est pas toujours un souvenir conscient : l’EMDR peut aussi travailler sur des sensations corporelles ou des images symboliques.
3. Retraitement avec l’EMDR
- Le patient est invité à se reconnecter à l’image, au souvenir ou à la situation phobogène.
- Pendant qu’il est en lien avec cette expérience, le thérapeute guide la stimulation bilatérale.
- Le cerveau va peu à peu “digérer” l’événement : les émotions s’apaisent, la perception change, l’expérience perd son pouvoir de terreur.
4. Généralisation à la situation réelle
- Après avoir retraité l’origine, le thérapeute vérifie si la réaction phobique face aux situations actuelles s’est transformée.
- On peut faire des mises en situation graduelles en imagination, puis, si nécessaire, dans la réalité (parfois couplées à des techniques de thérapie comportementale).
5. Résultats attendus
- L’intensité de la peur diminue, parfois très rapidement.
- La personne retrouve une liberté de choix : elle peut affronter la situation ou l’éviter, mais sans être paralysée ou submergée par l’angoisse.
L’EMDR est donc particulièrement adapté aux phobies spécifiques (ex. peur de l’avion, des aiguilles, des animaux) et peut aussi être utilisé pour des phobies plus larges (comme l’agoraphobie), souvent en combinaison avec d’autres approches comme les TCC.
Je vous accompagne dans ce processus
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Les limites des thérapies individuelles
On parle souvent du développement personnel comme d’un chemin vers une meilleure version de soi-même. Mais je trouve dangereux de croire que tous nos mal-être leur origine en nous seuls. Cette idée, malheureusement bien trop répandue, conduit à une forme d’auto-culpabilisation : « Si je souffre, c’est parce que j’ai des failles que je n’ai pas encore réparées ». Or ce n’est pas toujours vrai. Et on le dit souvent, les personnes qui prennent rendez-vous pour une thérapie, on déjà fait la moitié du chemin.
J’en vois même des personnes qui viennent toujours venir chercher la petite bête en elles-mêmes, prenant presque à leur charge, les manquements d’autrui… ( bien sûr ceci peut être travaillé aussi )Nos souffrances naissent en nous, mais en lien aussi à un environnement qui peut être injuste, violent, inadapté, etc…
- Les conditions de travail, parfois déshumanisantes.
- Les pressions économiques, qui enferment dans la précarité.
- Le poids des discriminations de tous genres
- Les violences systémiques, visibles ou invisibles, qui marquent les corps et les esprits.
Dans ces contextes, aucune thérapie individuelle ne peut, à elle seule, transformer la réalité extérieure. Elle peut aider à tenir debout, à ne pas s’effondrer, à préserver sa dignité intérieure, elle peut impacter, faire miroir, modèle, mais elle ne saurait remplacer une transformation collective.
C’est là que réside une limite essentielle : si l’on réduit la souffrance au seul prisme de l’individu, on efface les responsabilités sociales et politiques. On déplace le problème et ce qui devrait être reconnu comme une injustice systémique devient ne «fragilité personnelle» à réparer. Et cela peut être destructeur. Les abuseurs de toutes sortes connaissent bien la méthode: faire passer leur violence pour les fragilités des victimes.Alors, faut-il abandonner les thérapies individuelles ? Bien sûr que non. Elles restent un outil de réparation essentiel, mais elles gagnent à être pensées en lien avec d’autres dimensions :
- La solidarité et le collectif.
- Les mouvements sociaux et politiques qui cherchent à changer les structures.
- Les pratiques communautaires qui restaurent le sentiment d’appartenance.
- L’art, la création, le partage, qui ouvrent des voies de résistance et de sens.
Se soigner individuellement, oui, bien sûr ! Mais sans jamais perdre de vue qu’une guérison véritable passe aussi par une évolution commune.
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Novlang émotionnel
On entend de plus en plus parler des émotions. Elles sont partout: dans les magazines, les pubs, les formations, sur les réseaux sociaux. « Libère tes émotions », « Sois positif·ve », « Lâche prise », « Ose être toi » Blablablabla… Ces expressions circulent tellement qu’elles finissent par perdre complètement leur sens. Et même pour certaines personnes, ces phrases sont perçues comme ridicules, ou pour d’autres elles génèrent une véritables pression interne. De mon point de vue c’est du novlang émotionnel . Des mots qui semblent dire quelque chose, mais qui, à force d’être répétés et utilisés dans tous les sens deviennent vides.
Au départ, parler de nos émotions c’est une avancée. Car
pendant longtemps, selon les conditions de vie et d’éducation, elles ont pu être refoulées, ignorées…..
Mais aujourd’hui, on est dans l’excès inverse et on met de l’émotion partout, sans toujours savoir ce que cela recouvre vraiment. « Se reconnecter à soi », « accueillir ses émotions », « guérir ses blessures »… Ces phrases sonnent bien, mais elles peuvent vier au slogan. Elles donnent l’impression qu’il suffirait de prononcer les bons mots pour que quelque chose change. Les formules magiques sont souvent des formules commerciales.Le risque des illusions
Le danger, c’est que ce novlang émotionnel peut créer de la confusion, voire de la culpabilité. Si je n’arrive pas à « lâcher prise » ou à « être pleinement moi-même », est-ce que ça veut dire que je suis bloqué·e ? pas assez avancé·e ? pas à la hauteur ? pas assez intelligent.e? pas assez spirituel.le? pas assez ceci, pas assez cela? Tout ceci peut aussi ajouter au moulin mental, et renforcer le mal-être. À force, on peut se sentir pris·e dans une nouvelle injonction, celle de réussir sa vie émotionnelle comme on réussirait sa carrière. Et là, on n’est plus dans l’authenticité, mais dans une performance à peine déguisée. En croyant se libérer de cette façon, des personnes deviennent de plus en plus mécaniques, robotisées, ou même dissociées.
Alors, revenir à l’expérience
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Revenir au réel
Je trouve que nous vivons une époque où l’attention est sans cesse happée ailleurs : dans les écrans, les projets, les inquiétudes ou les comparaisons. Ainsi, nous nous exilons de nous-mêmes. Nous quittons le sol ferme de l’expérience immédiate, nous perdons le fil de notre propre vie. Revenir au réel, c’est consentir à ce qui est déjà là – la respiration du corps, l’élan ou le poids des émotions, la trame délicate de nos relations. Mais cet accès est parfois complètement obstrué. Celui, celle, qui a traversé blessures et épreuves a souvent appris, pour survivre, à se détourner de ses propres ressentis ; il avance alors comme étranger à lui-même, soutenu par des récits de façade ou perdu dans le tumulte de ses pensées. Se réconcilier avec le réel n’exige pas d’abandonner nos rêves ! C’est plutôt l’acte d’oser poser les deux pieds dans l’existence telle qu’elle se présente, et d’apprendre à l’habiter en vérité. C’est un geste de courage que de cesser la fuite, que d’accueillir parfois la douleur nue, mais aussi retrouver l’éclat discret des choses ordinaires.
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Reconnaître les chaînes invisibles pour retrouver votre liberté
Quand votre liberté intérieure s’efface…
L’asservissement n’est pas toujours visible. C’est une chaîne invisible qui se tisse peu à peu, dans une relation où l’autre prend progressivement le contrôle de vos pensées, de vos émotions et de vos choix.
Peut-être que vous l’avez déjà ressenti
- Vous vous adaptez sans cesse, pour éviter les reproches, les colères ou le silence.
- Vous n’osez plus dire non, par peur de décevoir ou de perdre la relation.
- Vos envies et vos besoins passent au second plan.
- Vous vous surprenez à douter de vous, à chercher constamment l’approbation de l’autre.
Petit à petit, votre espace intérieur se réduit. Vous vivez davantage pour répondre à ce que l’autre attend que pour vous-même.
L’asservissement : plus qu’une influence
L’asservissement, c’est plus qu’un contrôle. C’est une dépossession de soi. On cesse d’agir par choix, et l’on vit sous le poids d’une contrainte, explicite ou implicite. C’est une emprise qui fragilise, isole et étouffe l’élan vital. Nommer cette réalité peut être difficile. Mais mettre des mots dessus est une première étape vers la libération.
Le chemin de libération
Rien n’est figé. Même après des années d’asservissement, il est possible de :
- Retrouver confiance en votre propre voix intérieure.
- Reprendre le gouvernail de votre vie.
- Réapprendre à dire non sans peur ni culpabilité.
- Retisser un lien avec vos désirs et vos besoins profonds.
Vous n’êtes pas seul·e
Si vous vous reconnaissez dans ces mots, sachez que vous n’avez rien à vous reprocher. L’asservissement se met toujours en place de façon subtile. Mais vous pouvez choisir, dès aujourd’hui, de ne plus avancer seul·e.
Grâce à des approches comme l’EMDR, les TCC ou le coaching, vous pouvez défaire ces liens invisibles et reconstruire pas à pas votre espace de liberté intérieure.
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Sortir de l’emprise
Revenir à soi, doucement. Solidement. Librement.
Se reconstruire, restaurer de l’estime de soi, les limites, la clarté
Sortir d’un contexte de harcèlement moral, d’abus de pouvoir ou de manipulation relationnelle demande un accompagnement spécifique. Il y a des blessures qui ne laissent pas toujours de traces visibles. Des enfermements si subtils qu’on en vient à douter de leur existence. L’emprise psychologique fait partie de ces violences – insidieuses, lentes, silencieuses – qui altèrent l’identité, la volonté, la confiance, parfois jusqu’à l’effacement de soi. En d’autres termes, quand on sort d’une relation d’emprise, on ne sait plus très bien qui l’on est, ce que l’on aime, ce que l’on veut. Parfois on peut avoir perdu tous ses repères. Tout semble flou, confus. C’est comme si on avait interdit au cerveau de fonctionner normalement. Comme si on avait tenté de lui faire croire que le poison est bon pour lui.
Imaginez que tous les jours on oblige votre estomac à supporter du poison, en dose parfois infime pour que cela ne se voit pas, en lui disant que c’est bon pour lui. Voilà ce que font les comportement d’abus psychique, parfois jusqu’à l’effacement de l’identité propre.
Mais il est possible, pas à pas, de retrouver le fil, de réhabiter sa vie, son corps, sa voix. Et de redevenir l’auteur·ice de son propre récit.Le travail se fait à la fois sur le plan cognitif, émotionnel et corporel pour:
- Revenir à soi, sortir de la confusion identitaire
- Revaloriser l’estime personnelle
- Restaurer des limites saines
- Reprendre confiance dans ses perceptions
Un accompagnement spécialisé, avec des outils adaptés
Un lieu pour déposer, pour comprendre, pour réapprendre à se faire confiance. Ici, il n’y a pas de pression à aller vite, ni à « tourner la page ». Il y a de la place pour les doutes, les colères, les silences, les larmes, et aussi, pour la joie de se retrouver. Parce que la vie retrouvera son chemin. C’est comme une renaissance. Une mise au monde nouvelle de soi-même, plus lucide, plus libre, plus enracinée. Les personnes ayant vécu une relation d’emprise ont souvent été coupées de leurs ressentis, isolées, et parfois déprogrammées de leur propre système de valeurs. L’accompagnement est conçu pour répondre à ces spécificités, avec beaucoup de douceur et de rigueur.
Il s’appuie sur :
- Un travail de clarification identitaire : pour distinguer ce qui vient de soi et ce qui a été imposé, réhabiter ses choix, ses désirs, ses limites.
- Des approches de déprogrammation de l’emprise mentale : à travers la parole, les symboles, les actes concrets, les rituels de libération.
- Un accompagnement émotionnel : pour traverser la culpabilité, la honte, la peur, et retrouver une stabilité intérieure.
- Et la prévention des rechutes.
Pour qui ?
Cet accompagnement s’adresse à toute personne ayant subi une forme d’emprise psychologique, relationnelle ou spirituelle :
- relations toxiques ou manipulatoires (pervers narcissique, partenaire contrôlant… ),
- emprise familiale ou professionnelle,
- sortis de dérives sectaires ou de communautés fermées,
- personnes en confusion identitaire après une rupture ou une libération douloureuse.
Se reconstruire, ce n’est pas revenir en arrière
Ce n’est pas redevenir celle ou celui que l’on était « avant ». C’est autre chose.
Plus vaste. Plus conscient. Plus vrai.
C’est honorer le fait d’avoir survécu.
C’est poser des fondations neuves, depuis un lieu intérieur qui ne peut plus être volé.
C’est redevenir souverain·e de sa vie, de ses choix, de sa dignité.Je vous accompagne dans ce passage, en vous aidant à faire le tri, à vous écouter
« Revenir à soi, c’est revenir au pays sacré de l’âme. Et s’y établir enfin, sans maître, sans geôlier, sans masque. » — J.
NOTA BENE : Dans une approche intégrative et sécurisée, je veillerai à ce que les accompagnements proposés soient ajustés à votre situation. Le cas échéant, je pourrai vous recommander de compléter ce travail par une psychothérapie clinique, voire par un accompagnement psychiatrique, En effet avoir été sous emprise, peut parfois conduire à des états limites, certaines situations nécessitant parfois un soutien médicamenteux pour être traversées en toute sécurité.
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Re-connaissance du « Soi »
Retrouver le fil de soi après le chaos
« Il faut beaucoup de chaos en soi pour accoucher d’une étoile dansante. » — Nietzsche
À qui s’adresse cet accompagnement ?
À toute personne en quête de réinvention après une épreuve ou une mue intérieure.
À celles et ceux qui ne se reconnaissent plus dans leur vie actuelle, ou qui sentent l’appel à incarner une version plus vraie, plus libre, plus pleine d’eux-mêmes.Ce travail peut être particulièrement aidant pour :
- les personnes ayant vécu un traumatisme, un effondrement intérieur,
- les personnes en transition de vie – séparation, reconversion, etc
- les personnes en quête de leur identité, celles qui ne savent plus très bien qui elles sont
Cheminer ensemble
J’entends parfois dire après les épreuves vécues : « Je voudrais redevenir comme avant »….Aïe…. Comment cela serait-il possible ?
Se re-connaître???
Ne serait ce pas plutôt laisser émerger une nouvelle forme?Des outils pour se reconstruire avec justesse
L’accompagnement s’appuie sur une approche intégrative mêlant plusieurs pratiques :
EMDR
Pour se libérer des traumas.
Thérapies cognitives et comportementales (TCC)
Pour prendre soin du cerveau et en faire un allié plutôt qu’un bourreau.
Coaching et thérapie de l’action
Pour éclairer les choix, redonner du sens, et accompagner concrètement l’action.
